Le samedi dernier, on était à la Zone de captage où on a trouvé des policiers. Et c’est Aminata qui leur a dit qu’on faisait partie du groupe de prostituées », s’est défendue Astou Gningue.
Les enquêteurs avaient découvert une annonce de diffusion d’images contraire aux bonnes mœurs dans le site Nexna.com. Jointes au téléphone par un policier sur le numéro se trouvant dans l’annonce, elles avaient indiqué à leur interlocuteur l’adresse de leur appartement se trouvant à la Zone de captage.
C’est ainsi que les mises en cause ont été appréhendées après qu’elles ont reconnu qu’elles s’adonnaient à la prostitution sans carnet sanitaire.
« vous vous rassemblez dans un appartement à la Zone de Captage, vous recevez des garçons moyennant 5.000 francs la passe sans carnet sanitaire », a dénoncé le substitut du procureur qui a requis une peine d’avertissement de trois mois de prison assortie du sursis.
Le défenseur de la société, sermonnant que « la prostitution n’est pas une profession interdite, mais quand on s’y adonne, il faut un carnet sanitaire », a expliqué que se prostituer sans carnet sanitaire, c’est comme conduire sans permis. Quant au conseil de la défense, Me Iba Mar Diop, il a sollicité une application bienveillante de la loi pénale pour ses clientes.
Clément, le tribunal a relaxé les prévenues du délit de diffusion d’images contraires aux bonnes moeurs et les a condamnées à trois mois de prison assortis du sursis pour défaut de carnet sanitaire.
Le Témoin
Les enquêteurs avaient découvert une annonce de diffusion d’images contraire aux bonnes mœurs dans le site Nexna.com. Jointes au téléphone par un policier sur le numéro se trouvant dans l’annonce, elles avaient indiqué à leur interlocuteur l’adresse de leur appartement se trouvant à la Zone de captage.
C’est ainsi que les mises en cause ont été appréhendées après qu’elles ont reconnu qu’elles s’adonnaient à la prostitution sans carnet sanitaire.
« vous vous rassemblez dans un appartement à la Zone de Captage, vous recevez des garçons moyennant 5.000 francs la passe sans carnet sanitaire », a dénoncé le substitut du procureur qui a requis une peine d’avertissement de trois mois de prison assortie du sursis.
Le défenseur de la société, sermonnant que « la prostitution n’est pas une profession interdite, mais quand on s’y adonne, il faut un carnet sanitaire », a expliqué que se prostituer sans carnet sanitaire, c’est comme conduire sans permis. Quant au conseil de la défense, Me Iba Mar Diop, il a sollicité une application bienveillante de la loi pénale pour ses clientes.
Clément, le tribunal a relaxé les prévenues du délit de diffusion d’images contraires aux bonnes moeurs et les a condamnées à trois mois de prison assortis du sursis pour défaut de carnet sanitaire.
Le Témoin