Le corps des vacataires de l’enseignement moyen secondaire sera supprimé dans 3 à 4 ans avec la ‘’mise en place et le fonctionnement correct'' des Centres régionaux de formation, a annoncé, mardi à Dakar, Mafakha Touré, secrétaire général du ministère de l’Education nationale. ''Les professeurs de l’enseignement moyen, les instituteurs, les maîtres du préscolaire, de même que le personnel administratif seront recrutés à ce niveau. Le recrutement des professeurs de l’enseignement secondaire continuera à la FASTEF (ex-Ecole normale)’’, a expliqué M. Touré, lors des travaux de la 11-ème revue du Programme de développement de l’éducation et de la formation (PDEF).
''A terme, a-t-il ajouté, notre désir est de ne plus recruter d’enseignants sans formation initiale. Ces centres devront être des structures majeures au niveau déconcentré’’.
Pour le secrétaire général, ‘’la qualité n’est pas accidentelle, elle se cherche et se travaille. C’est pourquoi, le ministère estime que dans le système éducatif il faut des enseignants bien formés’’.
‘’Depuis un certain nombre d’années nous faisons des réformes très courageuses’’, a-t-il souligné, citant la formation de tout le stock de maîtres qui ont tous reçu une formation pédagogique, la suppression du quota sécuritaire et du projet des volontaires et la mise en place d’une direction de la formation et de la communication.
Aujourd’hui, a-t-il ajouté, le ministère est en train d’élaborer une politique de recrutement avec la mise en place de ces Centres régionaux de formation.
De même le ministère de l'Education nationale a procédé à la suppression du nom volontaire pour certains enseignants. C’est désormais maîtres pour le primaire ou des professeurs du moyen ou du secondaire.
‘’Nous voulons la qualité. Nous voulons que ceux qui entrent dans le système soient formés, compétents et motivés pour faire correctement leur travail’’, a fait valoir Mafakha Touré.
Dans cette optique également, ‘’tous les fonctionnaires, tous les administratifs, quelle que soit la position et même les chefs d’établissement et directeurs d’école vont recevoir une formation dans ces centres’’.
C’est pourquoi les Centres régionaux de formation ont été créés pour ‘’contribuer de façon décisive à rendre les gens compétents, capables de mobiliser des ressources, de les transférer et de les transformer mais surtout de réduire la mobilité des enseignants’’.
''Cela va régler le problème de la décentralisation mais surtout de l’imputabilité'', a ajouté Mafakha Touré.
Concernant cette mobilité des enseignants, il a précisé que tant qu’elle n’et pas bien réfléchie et bien contrôlée dans un cadre convenable, cela pose un problème de surnombre ou de déficit selon les zones.
Le PDEF est un ‘’moment majeur’’ qui permet de faire la revue sectorielle et de regarder de prés tout ce qui a été fait pendant 10 ans (2000-2010).
De Programme décennal de l’éducation et de la formation le PDEF est passé aujourd’hui à Programme de développement de l’éducation et de la formation pour (2010-2025). Cette rencontre, prévue au mois d’avril de chaque année, a été décalée du fait du calendrier électoral. Elle permet de faire la dernière programmation qui va durer 15 ans.
''A terme, a-t-il ajouté, notre désir est de ne plus recruter d’enseignants sans formation initiale. Ces centres devront être des structures majeures au niveau déconcentré’’.
Pour le secrétaire général, ‘’la qualité n’est pas accidentelle, elle se cherche et se travaille. C’est pourquoi, le ministère estime que dans le système éducatif il faut des enseignants bien formés’’.
‘’Depuis un certain nombre d’années nous faisons des réformes très courageuses’’, a-t-il souligné, citant la formation de tout le stock de maîtres qui ont tous reçu une formation pédagogique, la suppression du quota sécuritaire et du projet des volontaires et la mise en place d’une direction de la formation et de la communication.
Aujourd’hui, a-t-il ajouté, le ministère est en train d’élaborer une politique de recrutement avec la mise en place de ces Centres régionaux de formation.
De même le ministère de l'Education nationale a procédé à la suppression du nom volontaire pour certains enseignants. C’est désormais maîtres pour le primaire ou des professeurs du moyen ou du secondaire.
‘’Nous voulons la qualité. Nous voulons que ceux qui entrent dans le système soient formés, compétents et motivés pour faire correctement leur travail’’, a fait valoir Mafakha Touré.
Dans cette optique également, ‘’tous les fonctionnaires, tous les administratifs, quelle que soit la position et même les chefs d’établissement et directeurs d’école vont recevoir une formation dans ces centres’’.
C’est pourquoi les Centres régionaux de formation ont été créés pour ‘’contribuer de façon décisive à rendre les gens compétents, capables de mobiliser des ressources, de les transférer et de les transformer mais surtout de réduire la mobilité des enseignants’’.
''Cela va régler le problème de la décentralisation mais surtout de l’imputabilité'', a ajouté Mafakha Touré.
Concernant cette mobilité des enseignants, il a précisé que tant qu’elle n’et pas bien réfléchie et bien contrôlée dans un cadre convenable, cela pose un problème de surnombre ou de déficit selon les zones.
Le PDEF est un ‘’moment majeur’’ qui permet de faire la revue sectorielle et de regarder de prés tout ce qui a été fait pendant 10 ans (2000-2010).
De Programme décennal de l’éducation et de la formation le PDEF est passé aujourd’hui à Programme de développement de l’éducation et de la formation pour (2010-2025). Cette rencontre, prévue au mois d’avril de chaque année, a été décalée du fait du calendrier électoral. Elle permet de faire la dernière programmation qui va durer 15 ans.