Détenteur d’un pistolet de marque Walter et de calibre 22, le fils de Serigne Modou Kara Mbacké, Khalil Mbacké n’a pas hésité à en faire usage lorsqu’il a été pour cible par deux malfrats.
Ces derniers l’ont attaqué le 4 février dernier à 04 heures du matin lors qu’il venait de raccompagner un ami. Le tenant en respect avec une machette, les deux agresseurs lui ont fait les poches et dépossédé de 5000 francs. Le jeune marabout a profité d’une brèche et s’est rendu chez lui, histoire de prendre son arme dont l'autorisation de port est le n°0016087.
Sans sommation, il tira sur l’un des agresseurs Amadou Diop qui s’affale. Son acolyte vient à son secours. Le fils du théoricien du « Bamba Fepp » qui habite Sacré-Cœur 3 en profite pour alerter les gendarmes de la brigade de Ouakam qui étaient dans les parages dans le cadre d’une opération de sécurisation.
C’est ainsi que les deux malfaiteurs Amadou Diop et Boubou Diallo ont été mis aux arrêts et traduits à la barre du tribunal des fragrants délits de Dakar.
Toutefois, leur procès a été renvoyé au 18 février prochain pour motif de renseignements sur le passé carcéral de l’un des prévenus qui dit être un délinquant primaire.
Ces derniers l’ont attaqué le 4 février dernier à 04 heures du matin lors qu’il venait de raccompagner un ami. Le tenant en respect avec une machette, les deux agresseurs lui ont fait les poches et dépossédé de 5000 francs. Le jeune marabout a profité d’une brèche et s’est rendu chez lui, histoire de prendre son arme dont l'autorisation de port est le n°0016087.
Sans sommation, il tira sur l’un des agresseurs Amadou Diop qui s’affale. Son acolyte vient à son secours. Le fils du théoricien du « Bamba Fepp » qui habite Sacré-Cœur 3 en profite pour alerter les gendarmes de la brigade de Ouakam qui étaient dans les parages dans le cadre d’une opération de sécurisation.
C’est ainsi que les deux malfaiteurs Amadou Diop et Boubou Diallo ont été mis aux arrêts et traduits à la barre du tribunal des fragrants délits de Dakar.
Toutefois, leur procès a été renvoyé au 18 février prochain pour motif de renseignements sur le passé carcéral de l’un des prévenus qui dit être un délinquant primaire.