En collaboration avec Amnesty International, représentée par Aminata Dièye, coordonnatrice national du Programme-Education - Droits Humains, le comité a décidé de prendre le dossier en main et de veiller à ce que le présumé coupable soit lourdement châtié. « Les organismes de femmes se saisissent, dorénavant, de l’affaire et réclament justice. C’est une fillette. C’est une vie qui est brisée et ce n’est pas normal que cet acte reste impuni ou mal puni. Ce qui est encore plus dégradant c’est ce que le frère de la victime nous a dit tout à l’heure. Il parait que ce malfaiteur leur avait dit que nul ne pourra quelque chose contre lui parce qu’il est riche. C’est après qu’il a proposé deux bœufs pour acheter le silence de la famille. Nous souhaitons que la justice soit sévère sur les cas de viols ».
Le comité compte poursuivre les séries de rencontres organisées dans les quartiers pour sensibiliser, en collaboration avec Amnesty International , les populations sur les risques que courent les filles au niveau de la société.
Le comité compte poursuivre les séries de rencontres organisées dans les quartiers pour sensibiliser, en collaboration avec Amnesty International , les populations sur les risques que courent les filles au niveau de la société.