K. C officie comme serveuse dans un bar sis à Nouakchott, en Mauritanie. Après avoir fini son boulot tard dans la nuit d’un jour d’octobre dernier, la sénégalaise affrète un taxi pour rentrer chez elle. Mais en cours de route, le véhicule à bord duquel elle rejoignait son squat est arrêtée par des policiers au nombre de 4. Elle leur demande de l’aider à rejoindre son domicile car elle est fatiguée. C’est ce qu’il ne fallait pas faire. Ils vont plutôt l’aider à embarquer dans leur véhicule de service. Une fois dedans, la voiture est verrouillée. Commence ainsi le cauchemar de K. C. emmenée au bord de la plage par ses bourreaux, la sénégalaise se fera violer à tour de rôle. Après avoir commis leur forfait, ils ont voulu la laisser sur place mais elle leur supplie de la ramener. C’est alors qu’ils arpentaient une rue de Nouakchott que la serveuse a vu un groupe de vigiles massés et s’est subitement mise à hurler. Pris de panique, ils la jettent dehors. C’est ainsi qu’elle a été sauvée. Ses violeurs quant à eux, ont été pris grâce à la diligence de l’Ambassade du Sénégal en Mauritanie avant d’être radié du corps de la police mauritanienne.
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