Le quartier de Médina Kell, une localité de la commune de Keur Massar dans la banlieue dakaroise, est secoué par une affaire de viol répété sur une mineure. Selon nos informations, les mis en cause, le boucher M. Sow et le lutteur Diouf sont des voisins de la famille de la présumée victime, Nd. D. Ils auraient commencé à abuser de la jeune fille depuis que celle-ci a 14 ans. Cela a duré plus de deux ans, autrement dit depuis 2014.
D’après nos sources, M. Sow profitait de l’absence des parents de l’adolescente pour inviter celle-ci dans sa chambre. Pour un début, il s’était limité à des attouchements sexuels et autres flirts. Mais sa libido grandissant, M. Sow a décidé de passer à l’acte avec la mineure. Chaque fois qu’il était tenaillé par le désir, il invitait l’adolescente dans sa chambre pour y passer quelques moments de plaisir.
Un beau jour, en voyant Nd. D. sortir de la chambre du boucher, le nommé Diouf a décidé de participer au jeu. En lieu et place d’une dénonciation, il demanda à Sow d’avoir lui aussi des relations intimes avec la fillette. Ainsi, tous les deux se passaient la fille, à chaque fois qu’ils en éprouvaient le besoin. Leur petit jeu a pris fin il y a quelques jours, lorsqu’une de leurs voisines qui passait dans la maison a remarqué Nd. D. sortir de la chambre de Sow. Sans hésiter, la dame est allée s’en ouvrir aux parents de la jeune fille, à leur retour du travail. Interpellée, la demoiselle a préféré garder le silence dans un premier temps, avant de raconter toute sa mésaventure. Face aux révélations de leur fille, le couple a porté plainte à la gendarmerie de Keur Massar.
Lors de son audition par les éléments du Commandant Ousseynou Bâ, la présumée victime est revenue largement sur les faits. Elle a soutenu que le duo utilisait des fois des méthodes contraceptives avant d’entretenir des rapports sexuels avec elle. Elle a précisé qu’il arrivait que M. Sow et Diouf se relayent sur elle, le même jour.
Entendu à son tour, M. Sow a reconnu les faits tout en tentant de limiter sa responsabilité pénale. Dans sa version, le boucher a déclaré que les rapports n’étaient pas fréquents mais, juste deux à trois reprises par semaine. Etant donné que son acolyte a fondu dans la nature, M. Sow a été le seul à être déféré au parquet, pour les délits de viol sur un mineur.
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D’après nos sources, M. Sow profitait de l’absence des parents de l’adolescente pour inviter celle-ci dans sa chambre. Pour un début, il s’était limité à des attouchements sexuels et autres flirts. Mais sa libido grandissant, M. Sow a décidé de passer à l’acte avec la mineure. Chaque fois qu’il était tenaillé par le désir, il invitait l’adolescente dans sa chambre pour y passer quelques moments de plaisir.
Un beau jour, en voyant Nd. D. sortir de la chambre du boucher, le nommé Diouf a décidé de participer au jeu. En lieu et place d’une dénonciation, il demanda à Sow d’avoir lui aussi des relations intimes avec la fillette. Ainsi, tous les deux se passaient la fille, à chaque fois qu’ils en éprouvaient le besoin. Leur petit jeu a pris fin il y a quelques jours, lorsqu’une de leurs voisines qui passait dans la maison a remarqué Nd. D. sortir de la chambre de Sow. Sans hésiter, la dame est allée s’en ouvrir aux parents de la jeune fille, à leur retour du travail. Interpellée, la demoiselle a préféré garder le silence dans un premier temps, avant de raconter toute sa mésaventure. Face aux révélations de leur fille, le couple a porté plainte à la gendarmerie de Keur Massar.
Lors de son audition par les éléments du Commandant Ousseynou Bâ, la présumée victime est revenue largement sur les faits. Elle a soutenu que le duo utilisait des fois des méthodes contraceptives avant d’entretenir des rapports sexuels avec elle. Elle a précisé qu’il arrivait que M. Sow et Diouf se relayent sur elle, le même jour.
Entendu à son tour, M. Sow a reconnu les faits tout en tentant de limiter sa responsabilité pénale. Dans sa version, le boucher a déclaré que les rapports n’étaient pas fréquents mais, juste deux à trois reprises par semaine. Etant donné que son acolyte a fondu dans la nature, M. Sow a été le seul à être déféré au parquet, pour les délits de viol sur un mineur.
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