Les travailleurs de la Fondation Agir pour l’Education et la Santé (FAES) sont très remontés contre l’ex-Première dame. Cette dernière a, affirment-ils, rompu de manière arbitraire leur contrat à durée indéterminé sans même les consulter. « C’est le 07 mai que le personnel a été avisé de la décision arbitraire avant que celle-ci n’entre en vigueur le 15 mai » se sont-ils indignés. L’argument selon lequel cette décision est la conséquence de la suspension de la subvention annuelle allouée au FAES par l’Etat a été battu en brèche par ces employés. Ils estiment que bien avant cette suspension, ils n’ont jamais bénéficié de cette subvention qui s’élève à deux (2) milliards de nos francs par an. « Nous avons déjà commis un avocat en la personne de Me Clédor Ly. Tous ce que nous voulons c’est qu’on nous paie nos droits intégralement » ont-ils laissé entendre.
Quant à Sindiély, elle doit de l’argent, depuis un peu plus d’un an, aux prestataires de services et aux fournisseurs du FESMAN. « On ne peut pas comprendre que 74 milliards soient mobilisés pour ce festival et que nous ne soyons pas encore en possession de nos fonds. Nous sommes des pères de famille et des citoyens » a déploré l’un d’entre eux. Ils ont, eux aussi, constitué un pool d’avocats afin de recouvrir leur dû.
Source: Rewmi.com
Quant à Sindiély, elle doit de l’argent, depuis un peu plus d’un an, aux prestataires de services et aux fournisseurs du FESMAN. « On ne peut pas comprendre que 74 milliards soient mobilisés pour ce festival et que nous ne soyons pas encore en possession de nos fonds. Nous sommes des pères de famille et des citoyens » a déploré l’un d’entre eux. Ils ont, eux aussi, constitué un pool d’avocats afin de recouvrir leur dû.
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