Sa défaite du mars dernier lui est restée en travers de la gorge. Il ne réalise pas qu’il a perdu le pouvoir au profit d’un de ses anciens protégés, Macky Sall. Face à ce qui parait invraisemblable, Wade est gagné par la déception. Déception en certains hommes politiques qu’il a promus et qui, pour le remercier, lui ont planté un couteau dans le dos. C’est au journaliste Macodou Ndiaye qu’il a fait cette confidence. « L’interrogeant sur les défections survenues dans ses rangs, cause peut être de sa défaite, il me répond en avouant sa déception en certains hommes politiques en qui il avait placé une confiance absolue et qui ont été aveuglé par le pouvoir et l’argent », relate Macodou Ndiaye dans les colonnes du journal Enquete. Il y raconte la visite rendue au couple Wade, mardi dernier à Versailles.
Mais à en croire le journaliste anthropologue, le Pape du Sopi ne compte pas lâcher du lest. Quand bien même chassé du pouvoir et gagné par l’âge, son combat, il va le mener jusqu'au bout. « Comme je lui demandais s’il ne devait pas se placer au dessus de la mêlée, il rétorque qu’il ne voit pas quelle loi ou règle devrait interdire à un intellectuel et à un politique de réfléchir, de prendre position et de se battre jusqu’au dernier souffle de sa vie pour ses idéaux », raconte l’anthropologue qui annonce le retour de Wade pour faire du Pds un « Grand parti panafricain ».
Mais à en croire le journaliste anthropologue, le Pape du Sopi ne compte pas lâcher du lest. Quand bien même chassé du pouvoir et gagné par l’âge, son combat, il va le mener jusqu'au bout. « Comme je lui demandais s’il ne devait pas se placer au dessus de la mêlée, il rétorque qu’il ne voit pas quelle loi ou règle devrait interdire à un intellectuel et à un politique de réfléchir, de prendre position et de se battre jusqu’au dernier souffle de sa vie pour ses idéaux », raconte l’anthropologue qui annonce le retour de Wade pour faire du Pds un « Grand parti panafricain ».