Comme dans la pensée de Nietzsche, l’élève a vraiment tué le maître. Abdoulaye Wade refuse sa déchéance et Macky Sall accepte avec simplicité et humilité son ascension qui relève du décret divin. Wade est un homme incapable de dépassement et sans aucun sens de la mesure. Avec lui, on nage toujours dans l’excès. Sa dernière sortie contre la première institution de ce pays qu’il a lui-même dirigé, révèle que le personnage Abdoulaye Wade est incompatible avec l’appellation «Ancien Chef d’Etat ». Traiter d’esclave son ancien homme de confiance qui plus est, ancien Premier Ministre et ancien Président de l’Assemblée sous son magister, relève de l’irrespect au peuple Sénégalais, même si ce dernier l’a vomi prématurément, à son goût.
L’histoire des pays africains retrace sociologiquement la cohabitation de deux tranches de population au sein des sociétés post médiévale. Il y avait d’une part les esclaves (comme le pense Abdoulaye Wade), et d’autre part les esclavagistes, c’est-à-dire les autochtones qui n’avaient comme autres activités que la mise à prix et la vente de leurs propres frères. Ces « esclavagistes » pris comme des traitres sans foi ni loi, s’abreuvaient du sang de leurs propres frères en alimentant ce commerce humain considéré comme le pire crime contre l’humanité. Dès lors, si au 21ème siècle, un homme fut-il un éminent intellectuel au crâne dégarni par l’usure et le petit souci, déclare qu’un autre est descendant d’esclave, c’est qu’il se place lui-même dans l’autre camp, celui de la descendance des traitres-vendeurs.
Le Sénégal a honte d’avoir eu un Chef incapable de feinter les pièges de l’histoire et de ses laudateurs. Le système que Wade a mis en branle vient de lui échapper définitivement. Les grands gagnants du système-Wade sont aujourd’hui les manipulateurs qui ne peuvent exister politiquement ou mobiliser populairement qu’à travers l’image du Vieillard. Autrement, qui au PDS est capable de drainer les foules ou les galvaniser avec son seul patronyme ? En tous les cas, le « descendant de vendeurs d’esclaves » ne s’arrêtera pas, car il n’est plus le maître de son jeu, encore moins celui de son propre destin.
Il est grand temps qu’Abdoulaye Wade comprenne que les paradigmes ont changé ! Le peuple s’en moque que la lignée de son guide soit entachée par les liens de la captivité motrice d’un lointain commerce triangulaire si celui-là n’a comme unique préoccupation que la satisfaction des besoins des populations, le recul de la pauvreté, la sécurité des bien et des personnes et le retour aux valeurs traditionnelles. Le Peuple ne peut que s’en réjouir si son descendant d’esclave de Président ne vit que pour la satisfaction de ses besoins les plus élémentaires.
Wade est perdu. Son modus operandi se dévoile au goût du jour. Les manipulateurs du Système-Wade sont en train de jouer sur la fibre sensible du sénégalais. Leur dessein est d’embraser Notre pays en provoquant l’infarctus du vieillard en pleine manifestation publique ou à le pousser à enfreindre les lois afin d’en faire le plus vieux prisonnier politique du globe, après avoir été le plus vieux président en exercice de la sphère politique mondiale. Et , l’un dans l’autre, le gain politique sera grand pour le PDS. Ce plan ourdi par un gang de délinquants économiques en pleine débandade est voué à l’échec. L’APR, sa jeunesse et toutes les forces vives éprises de justice et de paix feront face. Le paradigme du politicien maître-chanteur a changé, et à sa place, se construit lentement mais sûrement, celui du politique-actif, et cela Wade et ses affidés doivent en avoir conscience.
Lamine Ndiaye alias Lamine Aysa Fall
Militant Alliance pour la République (APR)
Coordonnateur Bennoo Bokk Yaakaar/ Thiès nord
L’histoire des pays africains retrace sociologiquement la cohabitation de deux tranches de population au sein des sociétés post médiévale. Il y avait d’une part les esclaves (comme le pense Abdoulaye Wade), et d’autre part les esclavagistes, c’est-à-dire les autochtones qui n’avaient comme autres activités que la mise à prix et la vente de leurs propres frères. Ces « esclavagistes » pris comme des traitres sans foi ni loi, s’abreuvaient du sang de leurs propres frères en alimentant ce commerce humain considéré comme le pire crime contre l’humanité. Dès lors, si au 21ème siècle, un homme fut-il un éminent intellectuel au crâne dégarni par l’usure et le petit souci, déclare qu’un autre est descendant d’esclave, c’est qu’il se place lui-même dans l’autre camp, celui de la descendance des traitres-vendeurs.
Le Sénégal a honte d’avoir eu un Chef incapable de feinter les pièges de l’histoire et de ses laudateurs. Le système que Wade a mis en branle vient de lui échapper définitivement. Les grands gagnants du système-Wade sont aujourd’hui les manipulateurs qui ne peuvent exister politiquement ou mobiliser populairement qu’à travers l’image du Vieillard. Autrement, qui au PDS est capable de drainer les foules ou les galvaniser avec son seul patronyme ? En tous les cas, le « descendant de vendeurs d’esclaves » ne s’arrêtera pas, car il n’est plus le maître de son jeu, encore moins celui de son propre destin.
Il est grand temps qu’Abdoulaye Wade comprenne que les paradigmes ont changé ! Le peuple s’en moque que la lignée de son guide soit entachée par les liens de la captivité motrice d’un lointain commerce triangulaire si celui-là n’a comme unique préoccupation que la satisfaction des besoins des populations, le recul de la pauvreté, la sécurité des bien et des personnes et le retour aux valeurs traditionnelles. Le Peuple ne peut que s’en réjouir si son descendant d’esclave de Président ne vit que pour la satisfaction de ses besoins les plus élémentaires.
Wade est perdu. Son modus operandi se dévoile au goût du jour. Les manipulateurs du Système-Wade sont en train de jouer sur la fibre sensible du sénégalais. Leur dessein est d’embraser Notre pays en provoquant l’infarctus du vieillard en pleine manifestation publique ou à le pousser à enfreindre les lois afin d’en faire le plus vieux prisonnier politique du globe, après avoir été le plus vieux président en exercice de la sphère politique mondiale. Et , l’un dans l’autre, le gain politique sera grand pour le PDS. Ce plan ourdi par un gang de délinquants économiques en pleine débandade est voué à l’échec. L’APR, sa jeunesse et toutes les forces vives éprises de justice et de paix feront face. Le paradigme du politicien maître-chanteur a changé, et à sa place, se construit lentement mais sûrement, celui du politique-actif, et cela Wade et ses affidés doivent en avoir conscience.
Lamine Ndiaye alias Lamine Aysa Fall
Militant Alliance pour la République (APR)
Coordonnateur Bennoo Bokk Yaakaar/ Thiès nord