A en croire Abdoulaye Wade, ses anciens collaborateurs l’ont plus desservi qu’ils ne l’ont aidé à se rapprocher des populations sénégalaises. Il l’a fait savoir à une délégation du Forum de la renaissance africaine qu’il recevait, en prélude au « Prix du leadership africain » qui lui sera décerné dimanche prochain.
A ses invités qui l’ont interpellé sur sa non-accessibilité quand il était aux Affaires, le président Wade a répondu : « Moi, j’étais emmuré à la Présidence. Tous les jours, j’étais en colère avec tout le monde. C’était très difficile de me voir. Des gens s’organisaient et mettaient un mur entre les gens qui veulent me voir et moi. Même si je donne ma carte de visite pour qu’il vienne me voir, on le bloque. Le pouvoir, c’est très compliqué. Ca m’a fait très mal d’être coupé des gens, de mes amis », geint l’ancien homme fort du pays.
Qui cependant dit à qui veut l’entendre qu’il n’abandonnera jamais la politique. « Je suis en chômage de la Présidence. Je n’arrêterai la politique, jusqu'à ce que je ne sois plus de cette vie. La vie est un combat. Et l’important est que les Africains soient convaincus qu’ils ont quelque chose à défendre », déclare Wade dans les colonnes de l’Observateur lu par Setal.net.
A ses invités qui l’ont interpellé sur sa non-accessibilité quand il était aux Affaires, le président Wade a répondu : « Moi, j’étais emmuré à la Présidence. Tous les jours, j’étais en colère avec tout le monde. C’était très difficile de me voir. Des gens s’organisaient et mettaient un mur entre les gens qui veulent me voir et moi. Même si je donne ma carte de visite pour qu’il vienne me voir, on le bloque. Le pouvoir, c’est très compliqué. Ca m’a fait très mal d’être coupé des gens, de mes amis », geint l’ancien homme fort du pays.
Qui cependant dit à qui veut l’entendre qu’il n’abandonnera jamais la politique. « Je suis en chômage de la Présidence. Je n’arrêterai la politique, jusqu'à ce que je ne sois plus de cette vie. La vie est un combat. Et l’important est que les Africains soient convaincus qu’ils ont quelque chose à défendre », déclare Wade dans les colonnes de l’Observateur lu par Setal.net.