De Karim Wade, Vieux Aïdara, etc., tous les barons du Pds et proches alliés ont reçu l’ordre ou la consigne « d’accuser » Me Wade comme étant leur principal bailleur de fonds. Face aux enquêteurs, les proches de l’ancien président de la République du Sénégal et de son fils chéri, Karim Wade, n’ont une seule expression en bandoulière, « C’est Me Wade… ».
Auditionné par les gendarmes de la section de recherches de Dakar, l’ancien ministre de l’Energie a confié aux enquêteurs que c’est son père qui lui a offert une partie de sa fortune. Ce que Wade a d’ailleurs confirmé en déclarant qu’il en avait fait de même avec l’actuel Président du Sénégal, alors son premier ministre. Cuisiné sur le montage de sa télévision, Vieux Aïdara s’est défaussé sur Wade qui, selon ses confidences faites aux gendarmes, serait à l’origine du financement de Canal Infos News. Ce, pour ne pas mouiller son ami Karim Wade qui serait le mécène de CIN.
Selon une source généralement bien informée, cette stratégie de défense permet aux convoqués qui peinent à prouver leurs avoirs de ne pas apporter de preuves supplémentaires. Oumar Sarr et le reste du club des « sept » tiendront à coup sûr le même langage au commandant Cheikh Sarr et à ses hommes. Maintenant reste à savoir si les gendarmes qui sont déjà briefés à ce sujet, vont prendre pour argent comptant tout ce que les présumés bandits économique vont débiter pour se sortir d’affaire. C’est la grande question…
Auditionné par les gendarmes de la section de recherches de Dakar, l’ancien ministre de l’Energie a confié aux enquêteurs que c’est son père qui lui a offert une partie de sa fortune. Ce que Wade a d’ailleurs confirmé en déclarant qu’il en avait fait de même avec l’actuel Président du Sénégal, alors son premier ministre. Cuisiné sur le montage de sa télévision, Vieux Aïdara s’est défaussé sur Wade qui, selon ses confidences faites aux gendarmes, serait à l’origine du financement de Canal Infos News. Ce, pour ne pas mouiller son ami Karim Wade qui serait le mécène de CIN.
Selon une source généralement bien informée, cette stratégie de défense permet aux convoqués qui peinent à prouver leurs avoirs de ne pas apporter de preuves supplémentaires. Oumar Sarr et le reste du club des « sept » tiendront à coup sûr le même langage au commandant Cheikh Sarr et à ses hommes. Maintenant reste à savoir si les gendarmes qui sont déjà briefés à ce sujet, vont prendre pour argent comptant tout ce que les présumés bandits économique vont débiter pour se sortir d’affaire. C’est la grande question…