Le président Wade qui a crié sur tous les toits qu’il allait quitter le pouvoir par la grande porte a l’occasion de donner corps à cette promesse brandie pour légitimer sa candidature de trop.
En 2000, Diouf n'a pas attendu le lendemain du 19 mars pour appeler son challenger de toujours au téléphone pour lui passer les commandes du Sénégal. La même situation que l’année qui a vu l’Alternance politique survenir au Sénégal pour la première fois de son histoire s’est présentée à nouveau. Sinon mieux. Le candidat de Benno Bokk Yaakaar n’a pas été tendre avec son « père spirituel » qui, durant la campagne l’a pris pour un « apprenti » et non pour un concurrent sérieux. Le résultat : Wade mort la poussière devant ce « poucet » que représente le patron de l’Apr qui lui aura administré la leçon de sa vie.
Face à une telle bérézina, le président sortant, et qui est déjà sorti, n’a d’autre choix que de prendre son téléphone, faire fi de tous les coups bas que ses faucons lui auraient soufflés, et appelle le maire de Fatick pour le mettre dans ses nouveaux habits de président de la République du Sénégal.
En 2000, Diouf n'a pas attendu le lendemain du 19 mars pour appeler son challenger de toujours au téléphone pour lui passer les commandes du Sénégal. La même situation que l’année qui a vu l’Alternance politique survenir au Sénégal pour la première fois de son histoire s’est présentée à nouveau. Sinon mieux. Le candidat de Benno Bokk Yaakaar n’a pas été tendre avec son « père spirituel » qui, durant la campagne l’a pris pour un « apprenti » et non pour un concurrent sérieux. Le résultat : Wade mort la poussière devant ce « poucet » que représente le patron de l’Apr qui lui aura administré la leçon de sa vie.
Face à une telle bérézina, le président sortant, et qui est déjà sorti, n’a d’autre choix que de prendre son téléphone, faire fi de tous les coups bas que ses faucons lui auraient soufflés, et appelle le maire de Fatick pour le mettre dans ses nouveaux habits de président de la République du Sénégal.