Les lutteurs sont souvent objet de toutes sortes de quolibets. Certains les présentent comme des contre-exemples. Réaction de Yahya Diop : « Chacun peut analyser comme il le sent. Mais ils ne sont pas nombreux ceux qui ne veulent pas que leurs enfants deviennent lutteurs » Et pour lui, ce n’est pas les effets du chômage.
A son avis, la lutte est un sport intéressant qui attire du monde. « (…) et dans ce pays, 70% de la population veulent avoir un fils lutteur, parce qu’il n’y a aucun lutteur », a-t-il révélé. Mais curieusement, il avoue que son fils ne sera pas bizarre. Pourquoi ces deux positions paradoxales ? Il se défend : « Mais c’est à cause de la dureté du métier, de l’âpreté de la tache de lutteur que je ne veux pas que mon fils s’y lance ».
Ce qu’il regrette par contre, c’est de n’avoir pas mené des études poussées d’autant qu’il est convaincu que s’il avait eu un certain niveau, il serait devenu président du Sénégal.
A son avis, la lutte est un sport intéressant qui attire du monde. « (…) et dans ce pays, 70% de la population veulent avoir un fils lutteur, parce qu’il n’y a aucun lutteur », a-t-il révélé. Mais curieusement, il avoue que son fils ne sera pas bizarre. Pourquoi ces deux positions paradoxales ? Il se défend : « Mais c’est à cause de la dureté du métier, de l’âpreté de la tache de lutteur que je ne veux pas que mon fils s’y lance ».
Ce qu’il regrette par contre, c’est de n’avoir pas mené des études poussées d’autant qu’il est convaincu que s’il avait eu un certain niveau, il serait devenu président du Sénégal.