‘’Nous prendrons toutes les dispositions pour saisir les objets en provenance du Mali et qui ne sont pas accompagnés d’une autorisation du Musée national du Mali, seule instance habilitée à délivrer des autorisations d’exportation’’, a indiqué M. Ndour.
Il a présidé mardi un atelier, qui a rassemblé pendant deux jours des professeurs d’histoire et de géographie pour le renforcement de leurs capacités dans le domaine du patrimoine culturel et naturel, à l’initiative de la Commission nationale de l’UNESCO.
Selon M. Ndour, les autorités sénégalaises n’hésiteront pas à utiliser des mécanismes de sanctions contre le trafic illicite des manuscrits et des objets archéologiques de Tombouctou, sous contrôle notamment d'islamistes armés partisans de l'"ordre ancien", des salafistes.
Fin juin dernier, des membres d'Al-Qaïda au Maghreb (AQMI), appuyés par le groupe armé islamiste Ansar Dine, ont détruit les mausolées de saints à Tombouctou. les vestiges de la ville sont inscrits au patrimoine mondial par l'UNESCO, depuis 1988.
‘’Le Sénégal fera une application rigoureuse des instruments normatifs internationaux relatifs à la protection du patrimoine culturel’’, a dit Youssou Ndour, citant, ‘’la convention pour la protection des biens culturels en cas de conflit armé et la convention concernant sur l’interdiction (…) d’exporter des biens culturels’’.
‘’Aucune agression contre le patrimoine n’est admissible, qu’elle qu’en soit la justification, en dehors des instruments normatifs’’, s’est indigné le ministre sénégalais en charge de la Culture et du Tourisme.
A l'issue de l'atelier de Dakar, trois résolutions ont été retenues, notamment celle condamnant le pillage et la destruction d’instruments culturels à Tombouctou, dans le Nord du Mali, contre lequel pillage, l’État du Sénégal a pris des disposions pour la préservation du patrimoine en péril.
‘’L’Etat du Sénégal a déjà pris des dispositions au niveau des frontières pour faire échouer toute tentative de pratique illicite d’objets culturels en provenance du Mali qui ne soit pas estampillé du sceau du musée national du Mali qui est le seul autorisé à mettre en œuvre de tels transferts’’, a insisté Hamady Bocoum, directeur du patrimoine culturel.
Il a présidé mardi un atelier, qui a rassemblé pendant deux jours des professeurs d’histoire et de géographie pour le renforcement de leurs capacités dans le domaine du patrimoine culturel et naturel, à l’initiative de la Commission nationale de l’UNESCO.
Selon M. Ndour, les autorités sénégalaises n’hésiteront pas à utiliser des mécanismes de sanctions contre le trafic illicite des manuscrits et des objets archéologiques de Tombouctou, sous contrôle notamment d'islamistes armés partisans de l'"ordre ancien", des salafistes.
Fin juin dernier, des membres d'Al-Qaïda au Maghreb (AQMI), appuyés par le groupe armé islamiste Ansar Dine, ont détruit les mausolées de saints à Tombouctou. les vestiges de la ville sont inscrits au patrimoine mondial par l'UNESCO, depuis 1988.
‘’Le Sénégal fera une application rigoureuse des instruments normatifs internationaux relatifs à la protection du patrimoine culturel’’, a dit Youssou Ndour, citant, ‘’la convention pour la protection des biens culturels en cas de conflit armé et la convention concernant sur l’interdiction (…) d’exporter des biens culturels’’.
‘’Aucune agression contre le patrimoine n’est admissible, qu’elle qu’en soit la justification, en dehors des instruments normatifs’’, s’est indigné le ministre sénégalais en charge de la Culture et du Tourisme.
A l'issue de l'atelier de Dakar, trois résolutions ont été retenues, notamment celle condamnant le pillage et la destruction d’instruments culturels à Tombouctou, dans le Nord du Mali, contre lequel pillage, l’État du Sénégal a pris des disposions pour la préservation du patrimoine en péril.
‘’L’Etat du Sénégal a déjà pris des dispositions au niveau des frontières pour faire échouer toute tentative de pratique illicite d’objets culturels en provenance du Mali qui ne soit pas estampillé du sceau du musée national du Mali qui est le seul autorisé à mettre en œuvre de tels transferts’’, a insisté Hamady Bocoum, directeur du patrimoine culturel.