Ensemble, reconstruisons la Casamance, donnons lui cette place de choix qu’elle mérite dans l’économie sénégalaise ». C’est en ces termes que le Premier ministre Abdoul Mbaye s’est exprimé hier, mardi 26 juin à l’occasion du Conseil interministériel sur le développement de la Casamance.
Il est convaincu que le projet d’émergence d’un nouveau Sénégal, préconisé par le président de la République, Macky Sall, au-delà du rassemblement de l’ensemble des forces vives de la nation, « ne pourra se faire sans la paix qui en devient son absolue condition ». « Nulle part, la violence, celle qui tue, ampute, ne peut être tolérée. Mais pour l’éradiquer il faut pouvoir se souvenir de ses causes. Même trente ans après, de leur donner des réponses appropriées », a déclaré le Premier ministre.
Pour lui, les « recommandations du Conseil interministériel et celles du Conseil des ministres d’aujourd’hui ne sont que le début d’un processus qui, nous l’espérons, avec la grâce de Dieu, conduira la Casamance vers le développement et le développement durable ».
Il est convaincu que le projet d’émergence d’un nouveau Sénégal, préconisé par le président de la République, Macky Sall, au-delà du rassemblement de l’ensemble des forces vives de la nation, « ne pourra se faire sans la paix qui en devient son absolue condition ». « Nulle part, la violence, celle qui tue, ampute, ne peut être tolérée. Mais pour l’éradiquer il faut pouvoir se souvenir de ses causes. Même trente ans après, de leur donner des réponses appropriées », a déclaré le Premier ministre.
Pour lui, les « recommandations du Conseil interministériel et celles du Conseil des ministres d’aujourd’hui ne sont que le début d’un processus qui, nous l’espérons, avec la grâce de Dieu, conduira la Casamance vers le développement et le développement durable ».