''C’est un mouvement qui concerne toutes les écoles du Diocèse de Ziguinchor. Nous sommes partis en grève pour protester contre le retard dans le paiement de nos salaires. Au mois de janvier, il y a eu un retard et ça s’est répété encore'', a déclaré, dans un entretien à l’APS, Noël Mendy, chargé de la formation au sein du Syndicat national des enseignants catholiques du Sénégal (SNECS).
Il a fait savoir que le Conseil pédagogique et l’ensemble des chefs d’établissements ''n’ont pris aucun engagement'' pour le paiement des salaires du mois de février lors d’une rencontre tenue mercredi avec les membres du bureau du SNCES.
Les cours vont reprendre vendredi, a t-il indiqué, ajoutant que les enseignants tiendront dans l’après-midi une réunion d’évaluation pour voir la suite à donner au mouvement de grève.
Selon Théodore Tendeng, conseiller pédagogique à la Direction diocésaine de l’enseignement catholique (DIDEC), ces retards de salaires résultent des difficultés (financières) que rencontre l'institution.
‘’Ces difficultés ont fait que les salaires du mois de février n’ont pu être honorés. (…). Quand un employé travaille, il faut lui payer ce qu’on lui doit à la fin du mois en termes de salaires. A l’impossible nul n’est tenu. Nous avons tenu une réunion avec eux mercredi pour leur expliquer que c’est une situation passagère'', a souligné M.Tendeng.
‘’Je voudrais faire comprendre à tous que cette situation est passagère même si les difficultés sont là. Nous nous attelons à les résoudre pour le bien de tous et surtout pour les enseignants’’ a-t-il insisté, tout en refusant de fixer un délai pour le paiement des salaires du mois de février.
Le réseau scolaire de l’enseignement catholique est aussi présent dans les départements de Bignona et d’Oussouye. Il comprend 12 écoles dans l’élémentaire, 9 collèges, un lycée et 20 établissements du préscolaire pour un total de 116 salles de classe, a expliqué Théodore Tendeng.
Les effectifs tournent autour de 2.025 élèves ans le préscolaire, 4.475 dans l’élémentaire, 1.500 dans le moyen et 515 dans le secondaire, selon le conseiller pédagogique à la Direction diocésaine de l’enseignement catholique privé.
Aps.sn
Il a fait savoir que le Conseil pédagogique et l’ensemble des chefs d’établissements ''n’ont pris aucun engagement'' pour le paiement des salaires du mois de février lors d’une rencontre tenue mercredi avec les membres du bureau du SNCES.
Les cours vont reprendre vendredi, a t-il indiqué, ajoutant que les enseignants tiendront dans l’après-midi une réunion d’évaluation pour voir la suite à donner au mouvement de grève.
Selon Théodore Tendeng, conseiller pédagogique à la Direction diocésaine de l’enseignement catholique (DIDEC), ces retards de salaires résultent des difficultés (financières) que rencontre l'institution.
‘’Ces difficultés ont fait que les salaires du mois de février n’ont pu être honorés. (…). Quand un employé travaille, il faut lui payer ce qu’on lui doit à la fin du mois en termes de salaires. A l’impossible nul n’est tenu. Nous avons tenu une réunion avec eux mercredi pour leur expliquer que c’est une situation passagère'', a souligné M.Tendeng.
‘’Je voudrais faire comprendre à tous que cette situation est passagère même si les difficultés sont là. Nous nous attelons à les résoudre pour le bien de tous et surtout pour les enseignants’’ a-t-il insisté, tout en refusant de fixer un délai pour le paiement des salaires du mois de février.
Le réseau scolaire de l’enseignement catholique est aussi présent dans les départements de Bignona et d’Oussouye. Il comprend 12 écoles dans l’élémentaire, 9 collèges, un lycée et 20 établissements du préscolaire pour un total de 116 salles de classe, a expliqué Théodore Tendeng.
Les effectifs tournent autour de 2.025 élèves ans le préscolaire, 4.475 dans l’élémentaire, 1.500 dans le moyen et 515 dans le secondaire, selon le conseiller pédagogique à la Direction diocésaine de l’enseignement catholique privé.
Aps.sn