Cet atelier local de formation pédagogique s’inscrit dans le cadre du programme dynamique de paix en casamance initié par les scouts de casamance, géré par un comité local regroupant les principales associations de jeunesse et de femmes du département de kolda avec l’appui de l’ASTM « agir avec les scouts pour une meilleure terre » financé par les pouvoirs publics suisses via la fédération Génévoise de coopération.
Ainsi, ce programme a pour objectif général de continuer à l’instauration d’une paix durable en casamance par la mise en place d’un réseau de jeunes garçons et filles « bàtisseurs de paix ».
C’est pourquoi l’étape de kolda n’est qu’une suite logique de nos activités déroulées plutôt dans les départements de ziguinchor, oussouye et bignona dans la recherche de l’apaisement des conflits de tout genre.
En ce sens, 24 animateurs sont formés capables d’intervnir de maniére plus pertinente dans la gestion des conflits concrets vécus par les communautés locales de leurs zones d’intervention.
A cet effet, l’atelier doit permettre aux participants d’acquérir les compétences théoriques et pratiques en matiére de gestion non violente des conflits, d’intervention communautaire, en genre et paix ou en techniques de communication avec les populations sur le terrain.
La résolution des conflits doit passer nécessairement par une bonne communication fluide qui fait entrevoir du coup par l’identification des besoins des uns et des autres en repoussant le culte de l’intolérance qui gangréne les sociétés.
Le constat le plus palpable est le manque de communication qui occasionne des divergences banales en débouchant le plus souvent sur des conflits.
C’est pourquoi monsieur Henry coordonnateur du réseau de paix en casamance revenant sur la question « nous sommes à kolda pour partager avec les animateurs sur les téchniques de communication non violente dans la résolution de conflits ».
Pensez-vous mettre à profit votre expérience dans la recherche de la paix dans le conflit casamançais ?
« Nous sommes déterminés à mettre à contribution dans le processus de paix car nous nous y mettons depuis deux ans mais le plus important est d’essayer collectivement et non individuellement ».
Ces téchniques peuvent jouer un role important car il faut passer par la base avant d’aller à un niveau beaucoup plus élevé par l’identification des besoins des uns et des autres qui pourront aider à la résolution du conflit, dixit Henry.
Cette formation, désormais doit servir de modèle pour les cadres dans la recherche de la paix en casamance par l’apaisement des cœurs à la base.
AMADOU MAHMOUD DIALLO/KOLDA
Ainsi, ce programme a pour objectif général de continuer à l’instauration d’une paix durable en casamance par la mise en place d’un réseau de jeunes garçons et filles « bàtisseurs de paix ».
C’est pourquoi l’étape de kolda n’est qu’une suite logique de nos activités déroulées plutôt dans les départements de ziguinchor, oussouye et bignona dans la recherche de l’apaisement des conflits de tout genre.
En ce sens, 24 animateurs sont formés capables d’intervnir de maniére plus pertinente dans la gestion des conflits concrets vécus par les communautés locales de leurs zones d’intervention.
A cet effet, l’atelier doit permettre aux participants d’acquérir les compétences théoriques et pratiques en matiére de gestion non violente des conflits, d’intervention communautaire, en genre et paix ou en techniques de communication avec les populations sur le terrain.
La résolution des conflits doit passer nécessairement par une bonne communication fluide qui fait entrevoir du coup par l’identification des besoins des uns et des autres en repoussant le culte de l’intolérance qui gangréne les sociétés.
Le constat le plus palpable est le manque de communication qui occasionne des divergences banales en débouchant le plus souvent sur des conflits.
C’est pourquoi monsieur Henry coordonnateur du réseau de paix en casamance revenant sur la question « nous sommes à kolda pour partager avec les animateurs sur les téchniques de communication non violente dans la résolution de conflits ».
Pensez-vous mettre à profit votre expérience dans la recherche de la paix dans le conflit casamançais ?
« Nous sommes déterminés à mettre à contribution dans le processus de paix car nous nous y mettons depuis deux ans mais le plus important est d’essayer collectivement et non individuellement ».
Ces téchniques peuvent jouer un role important car il faut passer par la base avant d’aller à un niveau beaucoup plus élevé par l’identification des besoins des uns et des autres qui pourront aider à la résolution du conflit, dixit Henry.
Cette formation, désormais doit servir de modèle pour les cadres dans la recherche de la paix en casamance par l’apaisement des cœurs à la base.
AMADOU MAHMOUD DIALLO/KOLDA