Le Sénégal fait partie des pays qui n’ont pas de surveillance épidémiologique des maladies cardiovasculaires ou chroniques d’apres le rapport 2013 de l’OMS : Il n’y a pas de données centralisées et pertinentes sur ces maladies cardiovasculaires.
Ainsi ces maladies cardiovasculaires constituent la deuxième cause de mortalité au Sénégal et la première cause de décès chez l’adulte.
Aujourd’hui avec un plateau technique très insuffisant et près de 80 cardiologues le pire risque de survenir si on ne travaille pas à renverser la tendance : dans un futur proche, les maladies cardiovasculaires risquent de devenir la première cause de morbi mortalité a souligné le Docteur Aliou Ngaidé cardiologue à l’hôpital Générale de Grand Yoff
Sur ce l’hôpital Principal de Dakar engage le combat en anticipant sur ces maladies très couteuses et mortelles avec dans quelques jours le démarrage de son unité de coronographie et de cardiologie
Ainsi un grand soulagement pour les malades
En perspective de ce nouvel air, du 3 au 6 Décembre un séminaire de formation sur :’’ la pratique de la réadaptation cardio vasculaire et de l’education thérapeutique du patient’’ est organisé en faveurs des cardiologues
En effet nos comportements alimentaires, plus calorique, plus grasse, plus salée, plus sucrée et aussi la non pratique du moindre d’activités physiques dresse ce cocktail. Constituant la cause réelle des maladies cardiovasculaires