La Cour de répression de l’enrichissement illicite est de retour après avoir été mise en veilleuse suite au départ d’Abdou Diouf qui l’avait instituée en 1981. Selon Djibo Kâ, la loi sur l’enrichissement illicite a fait peur à tout le monde du temps d’Abdou Diouf. Il a fait savoir dans un entretien avec Le Quotidien survolé par Setal.net. « La loi sur l’enrichissement illicite a fait peur à tout le monde au temps du parti socialiste. A la fin, Abdou Diouf a mis la pédale douce. En ce moment, j’étais encore au cœur de l’Etat en tant ministre de l’Information », se remémore l’ancien compagnon de Diouf. Mais à l’en croire, ressusciter cette loi est une bonne chose. Car, pense-t-il, c’est mieux et c’est le moment.
Seulement, pour Djibo Kâ, la Loi doit être non seulement réactive mais également appliquée sans discrimination aucune. « Dont la base est des audits clairs et nets et transparents », suggère-t-il. Et de poursuivre dans les colonnes du Quotidien lu par Setal.net : « Auditons les 12 ans de pouvoir de Wade chacun va répondre de sa part de gestion. Qui a fait quoi ? Qui a pris quoi ? Ou ? Et comment ? Et avec qui ? Mais à la condition que tout le monde soit dans le même panier. Ce n’est pas bon de faire dans la sélection. Les termes de référence doivent être clairs et en aucun cas ils ne doivent viser quelqu’un à priori ».
Mais d’ores et déjà, il tire la couverture de son coté et rassure : « Je suis plus que prêt, je suis champion de la transparence (…) je suis blanc comme neige ».
Seulement, pour Djibo Kâ, la Loi doit être non seulement réactive mais également appliquée sans discrimination aucune. « Dont la base est des audits clairs et nets et transparents », suggère-t-il. Et de poursuivre dans les colonnes du Quotidien lu par Setal.net : « Auditons les 12 ans de pouvoir de Wade chacun va répondre de sa part de gestion. Qui a fait quoi ? Qui a pris quoi ? Ou ? Et comment ? Et avec qui ? Mais à la condition que tout le monde soit dans le même panier. Ce n’est pas bon de faire dans la sélection. Les termes de référence doivent être clairs et en aucun cas ils ne doivent viser quelqu’un à priori ».
Mais d’ores et déjà, il tire la couverture de son coté et rassure : « Je suis plus que prêt, je suis champion de la transparence (…) je suis blanc comme neige ».